mercredi 1 décembre 2010

Ecriture...

L'écriture de notre pièce avance à grand pas... Nous attaquons la scène 4: [extrait]


Arlequin : Tu ne penses pas si bien dire fieffé coquin. C’est donc toi qui force le hasard ? Tu ne perds rien pour attendre. [Ils tournent autour de la malle du Capitaine]
Le Capitaine : Me voilà face à un redoutable adversaire !
Arlequin : Je vais te faire sentir sur les côtes, ce qu’il en coûte de vouloir nuire aux intérêts de mon maître Silvio…
Le Capitaine : J’ai peur, oh mon dieu j’ai peur… [Il l’assomme] Il à son compte. Ne perdons pas de temps et débarrassons nous de cet importun.  [Il le ligote et lui passe un sac de toile sur la tête] Venise est une ville merveilleuse pour résoudre ce genre de petites difficultés… Il y a toujours à canal à deux pas ! [Il traine Arlequin par les pieds].

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